Jours en mer: 40
Distance parcourue : 7 290 mn
RAPPORT D’EXPÉDITION 2022 (à venir)
RÉSUMÉ D’EXPÉDITION 2022 (rapport court)
2022 ᖃᐅᔨᓴᐃᓂᕐᒥᑦ ᓇᐃᒡᓕᒋᐊᖅᓯᒪᓪᓗᒋᑦ ᐅᓂᒃᑳᓕᐊᖑᓯᒪᔪᑦ (rapport court, Inuktitut)
Permis octroyés
Jours en mer: 122
Distance parcourue : 17 968 mn
RAPPORT D’EXPÉDITION 2021 (rapport complet, en anglais)
RÉSUMÉ D’EXPÉDITION 2021 (rapport court)
2021 ᖃᐅᔨᓴᐃᓂᕐᒥᑦ ᓇᐃᒡᓕᒋᐊᖅᓯᒪᓪᓗᒋᑦ ᐅᓂᒃᑳᓕᐊᖑᓯᒪᔪᑦ (rapport court, en inuktitut)
Permis octroyés
Jours en mer: 96
Distance parcourue : 16 174 mn
RAPPORT D’EXPÉDITION ARCTIQUE 2020 (rapport complet)
RÉSUMÉ D’EXPÉDITION 2020 (rapport court)
Permis octroyés
Jours en mer: 104
Distance parcourue: 14 377 mn
RAPPORT D’EXPÉDITION ARCTIQUE 2019
RAPPORT D’EXPÉDITION ODYSSÉE SAINT-LAURENT 2019
Permis octroyés
Jours en mer: 122
Distance parcourue: 19 072 mn
RAPPORT D’EXPÉDITION ARCTIQUE 2018
Permis octroyés
Jours en mer: 112
Distance parcourue: 8 578 mn
Jours en mer: 125
Distance parcourue: 17 812 mn
Jours en mer: 115
Distance parcourue: 20 512 mn
Jours en mer: 97
Distance parcourue: 20 094 mn
Jours en mer: 52
Distance parcourue: 11 692 mn
Jours en mer: 105
Distance parcourue: 19 958 mn
Jours en mer: 124
Distance parcourue: 22 231 mn
Jours en mer: 168
Distance parcourue: 28 380 mn
RAPPORT D’EXPÉDITION ARCTIQUE 2007
RAPPORT D’EXPÉDITION ARCTIQUE 2008
Jours en mer: 80
Distance parcourue: 14 155 mn
Le 22 août 2006, le NGCC Amundsen a quitté Québec pour une expédition de 80 jours en soutien aux projets de recherche d’ArcticNet. En plus des échantillonnages océanographiques et biologiques, le canot hydrographique CSL Heron a été déployé afin d’augmenter les données sur la cartographie des fonds marins et sur l’habitat benthique dans le cadre d’un projet de recherche entre ArcticNet et Parcs Canada en Arctique de l’Est.
Jours en mer: 83
Distance parcourue: 15 088 mn
Le NGCC Amundsen a quitté Québec le 5 août 2005 pour une expédition de 84 jours dans l’Arctique canadien en soutien au programme de recherche marine d’ArcticNet. Des échantillons ont été prélevés à plus de 200 stations pour relever les caractéristiques des fonds marins et les propriétés océanographiques, atmosphériques et biologiques dans la baie de Baffin, la baie d’Hudson, le passage du Nord-Ouest et la mer de Beaufort.
MAP
Du 28 août au 4 octobre 2004, le NGCC Amundsen s’est transformé en une véritable clinique médicale flottante pour procéder à l’enquête Qanuippitaa? (Comment allons-nous?). Le navire a été utilisé par une équipe multidisciplinaire composée de médecins, d’infirmiers et de chercheurs du domaine de la santé afin de rendre visite à 14 communautés côtières du Nunavik (péninsule nord du Québec). Le but de ces visites était d’évaluer l’état de santé général de plus de 1 000 résidentes et résidents de la région. Des données relatives au mode de vie, à l’alimentation, aux maladies cardiovasculaires, à la densité osseuse, à la sécurité ainsi qu’à l’exposition aux contaminants environnementaux ont été recueillies lors de l’expédition. De l’équipement à la fine pointe de la technologie, généralement pas disponibles dans le Nord, a été installé sur le navire pour que certains tests précis puissent être effectués, par exemple, des mammographies, des mesures de la densité osseuse et des mesures de la carotide. C’est grâce à des enquêtes de ce genre que des actions préventives et curatives efficaces peuvent être mises en place afin d’augmenter la qualité de vie des habitants du Nord et de prévenir les maladies dans cette région. Enfin, l’expédition a également permis aux chercheurs d’effectuer des examens complémentaires relatifs à la qualité de l’eau potable, aux nouvelles maladies infectieuses, aux maladies chroniques ainsi qu’aux propriétés physiques de l’environnement côtier du Nunavik.
L’enquête Qanuippitaa? a été cofinancée par le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS), la Régie régionale de la santé et des services sociaux du Nunavik, ArcticNet, le Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord et les Instituts de recherche en santé du Canada.
Financée par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG), l’Étude internationale du plateau continental arctique canadien, ou CASES (de l’anglais Canadian Arctic Shelf Exchange Study), menée sous la direction d’une équipe canadienne, visait à comprendre les conséquences biogéochimiques et écologiques des variations et des changements du couvert de glace sur le plateau du Mackenzie, dans la région est de la mer de Beaufort. Le programme scientifique mis de l’avant pour réaliser cette étude s’appuie sur une hypothèse de base relativement simple : les pressions atmosphérique, océanique et hydrologique exercées sur le couvert de glace dictent la nature et l’ampleur des flux biogéochimiques du carbone sur le plateau du Mackenzie ainsi qu’à proximité de celui-ci.
La majeure partie de l’étude s’est déroulée à bord du NGCC Amundsen, au cours d’une expédition d’un an sur le plateau du Mackenzie. Des équipes de chercheurs en provenance du Canada, du Danemark, du Japon, de la Norvège, de l’Espagne, du Royaume-Uni ainsi que des États-Unis, pour un total de plus de 200 personnes, se sont relayées à bord de l’Amundsen afin d’étudier tous les aspects de l’écosystème pendant un cycle complet, de septembre 2003 à septembre 2004. Cette mission dans l’Arctique, d’une portée sans précédent, s’est divisée en trois principales étapes : 1) une enquête automnale, menée de septembre à décembre 2003 sur l’ensemble de la zone d’étude, au cours de laquelle 8 mouillages déployés en 2002 du NGCC Laurier ont été récupérés, et 17 nouveaux mouillages ont été déployés; 2) l’hivernage du navire dans la baie Franklin pour surveiller l’évolution de l’écosystème pendant la période d’hiver; et 3) une étude spatiale de la région, réalisée au printemps et à l’été, dans le but d’observer la débâcle des stamoukhas, l’ouverture de la polynie du cap Bathurst et le développement de l’écosystème estival; les mouillages ont été récupérés en août et septembre 2004, et 7 d’entre eux ont ensuite été redéployés.
Le programme CASES et ses remarquables résultats ont donné lieu à une série chronologique continue d’échantillonnages de la réponse de l’écosystème marin aux changements. Ces mesures ont été étendues à d’autres régions de l’Arctique grâce aux travaux d’ArcticNet et au programme pour l’Année polaire internationale.